Le message passe bien, mais quant au discours en lui-même, c’est plus délicat. Il vous reste 43.69% de cet article à lire. Le film aurait gagné tellement s'il s'était concentré sur son sujet principal... A savoir le machisme et le sexisme de cette époque, qui n'est pas du tout exagéré et qui existe toujours encore un peu de manière plus discrète. 13 abonnés Si la mise en scène de Martin Provost se révèle efficace, son scénario, par contre, nous propose une histoire dramatico-comique au ton caricatural. Le très bon choix de casting fait beaucoup dans la bonne exécution du film. Mais passé la première moitié le film devient long et ennuyeux. Lire ses 6 critiques, Suivre son activité Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Le droit à la contraception jeté à la volée. Palmarès des villes où investir dans l'immobilier, Studios et 2-pièces : les loyers ville par ville, Barême des droits de succession et donation. Ne comprend pas du tout les notes presse, Caricature des foyers d'éducation féminine des années pré-70. Les intentions sont honorables, dommage que l’on survole certains sujets ou que l’on délaisse certains personnages au fort potentiel dramatique. une version fantasmée du monde "d'avant", à croire que la Ftance des années 60 n'était guère au dessus de l'Afghanistan... des clichés exagérés et un final qui confine au grotesque, quel dommage. Aucun sens. On ne rit pas Quelques mots sur un clitoris mystérieux. 75 abonnés On ne peut se tromper en regardant comment ces demoiselles d’une école ménagère parviennent à rompre un lien psychologique avec un régime de l’asservissement. En cliquant sur « Continuer à lire ici » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Film au charme suranné, Martin Prevost restitue avec humour l'ambiance d'une école pour jeunes filles à la fin des années 60. Les différences ne devraient pas être un problème, mais la discrimination positive n'engendre que du négatif. Contraste : la violence de la mort, atténuée par la quiétude de la pose. Lire ses 9 critiques, Suivre son activité 25 abonnés PS : ce n'est pas surjoué, c'est le ton de l'époque... A quoi ai-je assisté ? Comédie . 6 abonnés Revue de presse | J'ai beaucoup aimé ce film ! T 53% . ©AlloCiné, Retrouvez tous les horaires et infos de votre cinéma sur le numéro AlloCiné : 0 892 892 892 (0,34€/minute). Monde . Les pensionnaires n’auront pas forcément le développement souhaité, notamment autour de sujets comme le mariage arrangé ou l’homosexualité. Caractérisation des personnages très très très mauvaise. Sinon, au risque de m'attirer les foudres de certains, est-il absolument nécessaire en 2020 d'ajouter systématiquement des personnages homos (à moins que ce ne soit justifié, bien entendu. Une belle présence d'Edouard Baer et un trio féminin de choc avec Juliette Binoche, une Yolande Moreau toujours aussi émouvante et une bonne sœur virulente jouée par l'excellente Noémie Lvovsky. ? On en reparle plus jamais de tout le film. Quelle déception On va même jusqu'à montrer une jeune fille se suicidant (on la voit pendue à l'écran, drôle de choix pour une comédie...) à cause d'un mariage forcé et cela ne donne suite à aucune intrigue. Tout le comique du film tient dans ses détails, ses comportements, ses situations, il y a énormément de second degré. Mais il faut un début à tout et c’est avec ce genre de flottement qu’on se surprend à sourire ou à en rire, sans jugement, mais par compréhension. La Bonne Épouse. Comédie rafraîchissante et rythmée. CRITIQUE - Juliette Binoche interprète la directrice d’une école ménagère décoiffée par le vent de liberté qui souffle sur la France en 1968. Sujet mal voire pas traité Des mots et messages passent en filigrane, comme une liste de choses qu’on voulait dire, sans créer d’histoire les reliants. Dans la foulée, Valeurs actuelles titrait sur « la terreur féministe ». Par Claro Publié le 13 juin 2019 à 13h00. En effet, bien que l’on cède rapidement plus de place à gent féminine, on ne cherche pas fondamentalement l’unité avant une conclusion peu solennelle, mais qui aura l’audace de marquer la joie de vivre et le droit de jouir d’une liberté intouchable. « Je ne ferai une bonne épouse pour personne » (Non saro mai la brava moglie di nessuno), de Nadia Busato, traduit de l’italien par Karine Degliame-O’Keeffe, Quai Voltaire, 272 p., 23 €. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Une belle au bois dormant plutôt qu’une désespérée démantibulée. Consultez le journal numérique et ses suppléments, chaque jour avant 13h. France Réalisé par Martin Provost 1h49 avec Juliette Binoche, Yolande Moreau, Noémie Lvovsky. Publicité | Ce dernier restera connecté avec ce compte. Pourquoi l'histoire avec Édouard Baer vient-elle tout foutre en l'air avec ses longueurs interminables et incohérentes ? Soutenez le journalisme d’investigation et une rédaction indépendante. La Capitale devient alors le siège de tous les conflits, mais également de tous les fantasmes, choses que les jeunes filles du foyer partagent et que les plus matures redoutent. Adamo chante Tombe la neige, les pensionnaires portent des blouses bleues, dorment dans un dortoir surveillé par sœur Marie-Thérèse (Noémie Lvovsky). 2020. Le film ne semble pas vouloir plonger dans ses ouvertures dramatiques, sous peine de faire retomber une tension saisissante et régie par un burlesque que l’on ne réfute pas. Vincent Lindon, François Damiens, Contact | La Bonne Épouse: du bon usage des clichés, Charlemagne, la renaissance de l'Occident, Juliette Binoche: «J’ai mis un pantalon dès que j’ai senti le danger, à l’âge de 7 ans», Binoche, Ozon, Téchiné et Varda, les étoiles françaises à la Berlinale 2019, Calendriers et résultats des matchs en direct, Résultats, classement général Tour De France, Conseils alimentation, nutrition et santé. Quel est le meilleur home cinéma sans fil ? Rarement on aura vu une telle compilation de mauvaises idées scénaristiques capables de saboter une idée aussi séduisante! Si la bonne épouse doit savoir cuisiner, on est dans le thème : ce film est une daube. Cela pouvait offrir avec un bon scénario l'un des films de l'année. Cependant, l'idée originale est sympa et le message -bien que très mal retranscrit- est très bon. Lire ses 260 critiques, Suivre son activité Entrer à l’école ménagère dirigée par Paulette Van der Beck (Juliette Binoche) dans un village d’Alsace en 1967, c’est entrer dans un monde d’autrefois aussi exotique que celui des petites filles modèles ou des demoiselles de Saint-Cyr. Un très mauvais moment et depuis longtemps Lire ses 5 critiques, Suivre son activité Il reste tout de même assez de sincérité pour que la comédie fonctionne, le temps d’un bouleversement des mœurs. Christopher Nolan, avec 1 abonné Il est aussi question de « l’avènement d’un androgynat mental », digne selon l’auteur des exactions des fous d’Allah. Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Le site Allociné recense 28 critiques presse, pour une moyenne de 3,4 ⁄ 5 [2]. 27 abonnés Jeux concours | Heureusement que ses élèves n’assistent pas aux travaux pratiques, car il y a parmi elles quelques impertinentes qui ne manqueraient pas de la reprendre. J'ai bien des souvenirs d'avant 1970..... Certes ,Les féministes n'étaient pas encore passées par là,mais je me souviens de beaucoup de bonheur dans mon petit village de l'Ouest et j'avoue en avoir de la nostalgie..... on espère que çà ne va pas déplaire à Foresti ni aux féministes hystériques.En plus,le film n'a pas été subventionné ,donc çà commence très mal. Quelle est la meilleure montre connectée ? Lire ses 979 critiques, Suivre son activité En France, les hauts revenus sont-ils tous des «riches»? 1 abonné Consternant de nullité! On aime beaucoup. Dans ce cas, sauf erreur de ma part, en 1968, incroyablement il y avait des noirs, des arabes et des asiatiques en France, où sont-ils donc passés dans ce film ?! La photo de Wiles paraîtra une dizaine de jours plus tard en couverture du magazine Life et accédera aussitôt à un statut mythique. Personnellement ces histoires de minorités m'ennuient, je pense qu'elles ne font qu'alimenter la haine de certains vis-à-vis de quelques castes de la population. Ex. Lire ses 78 critiques, Suivre son activité Lire sa critique, Suivre son activité On pouvait craindre le pire, une énième exofiction larmoyante, mais Nadia Busato, qui écrit avec la même puissance fractale et la même minutie empathique que Joyce Carol Oates, a opté pour une approche qu’on qualifiera d’excentrique. : 3 abonnés On a le droit de vote, évoqué en une phrase. Données Personnelles | 176 abonnés Les acteurs jouent très mal, ce qui n'est pas habituel pour ceux-là ! Comment choisir le meilleur extracteur de jus ? Chacune à sa façon, sera confrontée à ses propres principes ou ses rêveries. Je parlais au début de ce feuilleton de se lancer dans le vide. « Je ne ferai une bonne épouse pour personne » (Non saro mai la brava moglie di nessuno), de Nadia Busato, traduit de l’italien par Karine Degliame-O’Keeffe, Quai Voltaire, 272 p., 23 €. Celle prise par Robert Wiles le 1er mai 1947 au matin, vers 10 h 30, au pied de l’Empire State Building. On aurait pu sur ce sujet en faire des tonnes dans un réalisme dramatique, le choix a été au contraire d'adopter un ton plus léger... Pour autant ce n'est pas une comédie, le sujet de fond qu'il ne doit pas être sous-estimé. On dirait que leurs actions et leurs humeurs sont au service de l’intrigue. La Bonne Épouse: du bon usage des clichés. Avec un synopsis particulièrement opportun dont l'évident potentiel laissait présager une excellente comédie populaire, "La Bonne Epouse" est une immense déception!
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